Pendant que nous rentrions tranquillement en vol par le sud et l’est de Paris, il se passait des choses peu communes à l’ouest….Oui, Robin a testé le système de parachute sur le PulsR et ça marche ! Silly man monta nuages bas (il pensait que c’était mince) a développé son tour, il a sorti, puis il a décroché, puis un tour dans l’autre sens jusqu’à VNE, tous dans les nuages. Descente vers 700ft, désorienté avec peu d’espoir de reprendre le contrôle il a coupé le moteur et retiré la poignée. Sinon, je pense qu’il serait mort ou grièvement blessé, bon travail, il ne volait pas la GTR sans parachute. Il a été descendu dans la forêt, sans blessure, mais il ya des dommages à l’PulsR il est réparable. Ce qui est encore plus ennuyeux, c’est qu’il avait un horizon artificiel parfaitement bien, mais n’a pas la formation nécessaire pour l’utiliser. Dans la pratique, je l’ai trouvé tout à fait possible de conserver le contrôle de l’horizon Voyager, au moins assez pour faire un lent virage à 180 et voler l’abri des intempéries. J’ai un avion léger Note IMC. Je suivais dans la RGT et le perdis de vue. Je n’ai pas aimé le regard de la météo ou de la base des nuages approchent bas au-dessus de la forêt et je détournés vers de meilleures conditions météorologiques et le pays ouvert, alors que je détourne j’ai entendu appel de détresse Robin à la radio. J’ai fait un atterrissage de précaution dans un grand champ de chaume par une ferme. La vieille femme il m’a nourri café et des gâteaux et m’a dit que le même champ a été utilisé pendant la guerre d’abandonner des agents et des armes pour la résistance. Puis son père (l’agriculteur) a été suspectée et emmené à Buchenwald, où il a été abattu. Je suis entré en contact avec Robin et j’ai trouvé qu’il était OK, le premier plan était de rendevous au Mans, donc je suis parti là-bas après le temps s’était éclairci. Quand je suis arrivé au Mans, j’ai appris que Robin avait été récupéré par Pete Jarvis qui nous avait été rester avec. Pete et d’autres pilotes ont entendu l’appel Mayday Robin. Robin était avec les gendarmes interrogé pendant une longue période. Donc, rien à faire, je suis allé au musée Le Mans voiture pour rentrer à Onzain plus tard. On ne pouvait rêver d’une telle journée. Hier, Pete Jarvis a prêté son Robin GTR et je l’ai ramené par l’intermédiaire d’Abbeville et à Lydd, aucun problème. Merci à tous pour votre soutien lors du salon, je suis heureux que vous eu la chance de piloter l’PulsR et découvrir ses qualités. J’ai été frustré avec personnes qui regardent cela comme un vaisseau spatial extraterrestre, samedi, dimanche j’ai continué à mettre les gens dans le siège avant et ils ont tous adoré. Nous prévoyons de terminer la certification et avoir un peu de ceux de production l’année prochaine. Combien de personnes peuvent être vendus à quel prix ? J’ai essayé le Bionix 13 après vous étiez allé et l’a trouvé horrible, avec un terrain de phugoïde instable et plus lourd que le traitement GTR à haute et basse vitesse, spirale instable aussi bien. Le PulsR reviendrons ici sur la remorque quand Pete Jarvis a terminé son « jour férié ». Cordialement Ici mon petit histoire que j’ai donne a Jaqueline Monent, 83 ans. J’ai aterre dans ss meme champ utilise par les Anglais pour parachute les agents at les armes pendant le deuxieme guerre mondial. Le pere de Jaqueline est soupconne et malheureusement retire par les allemands a Buchenwald ou il etait tue. Pardon mon franglais Bill, Vous êtes super ! Je pensais que c’était Bill qui avait tiré le parachute Mais c’est Robin ! Ha sacré Robin ! tu as du flipper grave A retenir : rester en vue de l’horizon ! Bien à vous, portez vous bien et merci encore pour votre disponibilité et votre gentillesse et le bon salon que nous avons passé ensemble, Serge et Geneviève Serge et Geneviève Bouchet http://www.ulmparis.com/ Formation Pilote, Instructeur, renouvellement, test, DNC classes Autogire, Multi-axes, Pendulaire Importateur AirBorne Distributeur, Magni, Pegasus, Pioneer, Skyranger, Skyline Icom, Lynx, Ozee, Duc Hélices, Skydat 77450 Aérodrome de Meaux. 01 60 04 76 00 par Bill…. Jaqueline et ULM “P&M Quik GTR”Enfin j’ai retourne chez moi le soir de 04 September 2012. Apres mon visite, j’ai vol a Le Mans, les nuages avait enleve et j’ai atterre a Le Mans après un demi heure de bon vol. Mon collegue Robin qui a fait un descent par parachute dans les abres, heureusement est sans blesse. Le raison pour ca etait que il a grimpe dans les nuages et après deux minutes il perdue le controle, il ne sait pas ou est le ciel et le terre. Avec trop de vitesse et basse altitude, il tire le manette de le parachute. Le parachute est pour tout l’appareil et pilote, et il marche par un fusee qui tire le parachute de un hauban. Nous avons restons trois jours avec les autre pilotes a Onzain pres de Blois, qui sont dans l’air pour une voyage vers Gap-Tallard quand ils ecountent “May day May day je descend sur le foret par parachute, mon position est etc.”. Ils avait retournent a Onzain toute suite et voyageait vers Le Mans avec une voiture et remorque. Quand le parachute ouvert par fusee ilya un explosion que quelqes persones a ecoute dans la ville pret de le foret, ils arrivent avec gendarmes et a decouvre Robin qui marche chercher assistance. Enfin, mes amis les pilotes a decide retournent a Onzain avec Robin, le ulm et parachute sur le remorque, naturellement après beaucoup de dissussion avec les gendarmes. Un des gendarmes est un pilote aussi et dit que c’est dangereux et interdit voler un ulm dans le nuage. C’est un accident de pilotage, pas le appareil. J’ai reste a Le Mans pour attend les messages et quand c’est evidement que ilya rien pour moi a faire, j’ai decide visite le museum de Le Mans 24h. C’est excellente. Apres, j’ai decide retourne a Onzain et prend les photos de le ferme en route. Un des pilotes qui a arrive avec son ulm par remorque a le offre a Robin pour voler a l’angleterre. Aujourdhui, Robin et moi avait volons en deux ulms a l’angleterre par Dreux, Abbeville, Boulougne, Lydd, Peterfield et Marlborough en trois etages, le total est 5 heures de vol. Vraiment un weekend extraordinaire ! |
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championnat du monde 2012
C’est tous les 2 ans, cette année (2012) ils étaient organisés à Marugan (70 Km au nord, nord ouest de Madrid).
Après une préparation, de l’équipage, de la machine, du matériel nécessaire et la voiture chargée, nous voila partis le lundi 6 Août, Geneviève avec Lucie en voiture, Laurent avec son épouse et son fils et moi-même avec Zoé en Giro pour un posé à St Ciers, le fief d’Eric Changeur avec lequel nous travaillons pour les Giro Magni.
Petite nav sympa avec avitaillement à Blois en avgas tellement il y avait du vent de face, taxe (4€) et retard pour faire les papiers inhérents à cela…à cause de ces taches administratives et obligatoires pendant lesquelles je vois l’aérodrome qui va se faire recouvrir par un grain, après le décollage, j’arrive limite à le contourner, derrière, c’est bon et fini le mauvais temps.
Pas de temps à perdre, nous sommes déjà dans le trip, à l’arrivée, pour les 2 giro qui partent par la route et sur remorque, démontage des carénages de roues, des 2 pares brise, et bien sur, du rotor, emballage et arrimage.
Jérôme, en temps que grand voyageur, à décider de se rendre en Espagne en vol !
Nous finissons au restau le soir prêt à partir le lendemain matin pour 10 heures de route.
Mardi 7, départ au matin, route, route, et route arrivée sur place à minuit et sans encombre, ouf.
Mercredi 8, remontage des machines et première épreuve d’entrainement, tout bien avec Laurent !
Jeudi, de nouvelle épreuves mais avant pesée, et misères ! Nous sommes trop lourd, cure d’allégement en démontant une multitude de trucs, régime pour les coéquipiers (depuis plusieurs semaines d’ailleurs), nous nous en sortons et gagnions dans les 10 kg, nous pourrons faire toutes les épreuves en étant dans les clous.
Vendredi 9, 2 épreuves d’entrainement, ok, tout bien pour la première, au départ de la 2eme plus rien ne va ! Compas dans les choux, jauge déréglée et j’en passe, nous décidons avec Laurent de laisser tomber l’épreuve et de nous reposer pour régler tous ces problèmes, et nous avons bien fait.
Samedi 10, journée et cérémonie d’ouverture, 22 nations sont représentées, bonne ambiance dans l’équipe de France, derniers préparatifs.
Dimanche 11, début des épreuves, pleins de détails ici http://www.ffplum.fr/ .
et lundi,
et mardi,
mercredi annulé (mauvaise météo)
Plein de photos de Jérôme ici :http://www.prompsy.fr/2012-WMC-Espagne/05-competition-ulm/
Jeudi épreuves
Vendredi épreuves
Samedi remise des prix et préparation du Magni Véliplanant pour le départ, il fait encore une fois de plus très chaud ! Une seule machine à emballée, car Serge dit ‘’Le Viking’’ garçon très sympa) accompagnera Jérôme pour le retour avec le M16 d’Eric, elle n’est pas belle la vie !
Dimanche matin, après une dernière nuit sur place nous prenons la route, Eric étant déjà parti le samedi en fin d’après midi.
Laurent passe par Segovia et nous avec l’autogire en remorque partons aux plus directs, arrivée vers les 20 heures à St Ciers !
Le lundi 20 au matin, remontage de la machine et départ pour Meaux avec Lucie (on permute !).
Voyage très agréable, arrêt à Orléans St Denis avec un accueil vraiment des plus chaleureux, encore un très grand merci à l’aéro-club d’Orléans St Denis (je leur dois 1.50€…).
Arrivée complètement crevés en fin d’après midi au Véliplane.
Au final, 15 jours très intenses, pour le plaisir du vol et de la compétition le tout dans une ambiance très sympa et avec une équipe dès plus sympathique autour de paysages inhabituels.
Une très bonne expérience que nous allons essayer de renouveler en commençant par les prochains championnats de France.
N’est ce pas Laurent ?
Et en exclusivité Véliplane : nous montons un team pour les championnats de France de l’année prochaine, dans toutes les catégories pour participer en force, je crois savoir qu’ils seront organisés pas très loin de chez nous, à suivre….
Championnats du Monde d’ULM 2012 – Espagne
C’est un événement organisé tous les 2 ans ; cette année 2012, il avait élu domicile à Marugan (à 100 Km au nord-ouest de la capitale ibérique, Madrid).
Lundi 06.08 : après une préparation, de l’équipage, de la machine, du matériel nécessaire et les voitures chargées, nous voila partis ce lundi : Geneviève avec Lucie dans la première voiture, Laurent avec son épouse et Quentin, son fils, dans la seconde voiture et Serge avec Zoé en Autogyre pour un posé à St Ciers-sur-Bonnieure, le fief d’Eric Changeur avec lequel nous collaborons pour les machines MAGNI en France. Petite navigation sympathique de l’autogyre de Serge avec avitaillement à Blois en AVGAS ; principales remarques : un vent de face du tonnerre des Vikings, une taxe d’atterrissage (4€) et un retard pour rédiger les papiers inhérents à cela… à cause de ces taches administratives obligatoires. Serge avec obstination arrive de justesse à contourner un grain ; derrière lui, il laisse le mauvais temps au plus grand plaisir de Zoé…. Pas de temps à perdre, nous sommes déjà dans l’ambiance de la compétition ; à l’arrivée à St-Ciers-sur-Bonnieure, on prépare les 2 autogyres (celui de Serge, et celui d’Eric) qui partent par la route sur une remorque ; opérations nécessaires : le démontage des carénages de roues, des 2 pare-brise, et bien sûr une dépose du rotor s’impose. Le tout est emballé dans un film-plastic de protection emballage et bien arrimé. Ndlr : notre Jérôme national, en tant que grand voyageur, à décidé de se rendre en Espagne par la voie des airs ! Et hop, au-dessus des Pyrénées par le côté ouest ! Nous clôturerons la journée de cette première étape au restaurant le soir ; prêts à partir le lendemain matin dès 10h pour une seconde étage de 10 heures par autoroutes et routes départementales espagnoles. Olé !
Mardi 07.08 : départ au matin vers 10h : route, route, et toujours de la route – arrivée sur place vers 21h45 et sans encombre, ouf. Notre ventre crie famine ; nous allons découvrir la cuisine de notre maison-quartier général du Véliplane Club, louée dans le centre du village de Marugan ! Super bien équipée et des chambres + salles de bains individuelles pour le plus grands plaisir de ces dames ! Mercredi 08.08 : remontage des machines et première épreuve d’entrainement non officielle proposée par l’Organisation espagnole du championnat du monde en grande pompe pour Serge et Laurent – résultats motivants ! Jeudi 09.08 : de nouvelles épreuves mais avant tout, l’Organisation espagnole nous impose une pesée ! Grande misère : nous sommes trop lourds ! Il nous faut perdre 8 à 10 kg si nous voulons rester 1 heure de plus en l’air pour une durée totale de 2 heures (durée d’épreuve possible). Solution radicale provisoire : une cure d’allégement de la machine en démontant une multitude de bidules, de machins, de trucs. Secundo : régime-sec pour les coéquipiers (une continuité à ce qui a été entreprise depuis plusieurs semaines). Mais restons honnêtes : Serge et Laurent auraient pu perdre avant ce jour encore 2 à 3 kgs !! Nous sortons de cette impasse pondérale avec un gain de 8 kg (soit 11 à 12 litres de plus à emporter dans notre réservoir de carburant). Nous pourrons ainsi assurer la durée de chacune des épreuves en restant dans les clous ! Vendredi 10.08 : 2 épreuves d’entrainement non officielle pour poursuivre l’échauffement de la machine et des 2 coéquipiers. Pour la première non officielle organisée par l’Organisation espagnole : bonne prestation. Au départ de la 2eme : plus rien ne va ! Le compas électronique est en rade, la jauge de carburant est déréglée et le moral des troupes est dans les chaussettes ! NO STRESS ! Serge et Laurent décident de laisser tomber l’épreuve non obligatoire organisée par la Fédération FFPLUM et d’atterrir pour régler tous ces problèmes techniques vitaux ; Voilà qui est bien vu ! Samedi 11.08 : Journée et cérémonie d’ouverture, 22 nations sont représentées, bonne ambiance dans l’équipe de France, derniers préparatifs des machines au sol car les vols ne sont plus autorisés par l’Organisation espagnole ! >12 épreuves vont alors se succéder, dont :
Des atterrissages de précision dans un porte avion de 120 mètres de longueur (et pas un cm de plus !) – posé des roues dans des rectangles à cotation dégressive (250, 200, 150, 100 et 50 points).
Des atterrissages « SHORT-SHORT » dans un porte-avion consistant en un décollage au-dessus d’une banderole dressée à 1 m du sol et d’un atterrissage au-dessus de cette même banderole mais pour un touché le plus court possible avec frein serrés !! Attention les pneus ; la gomme est restée sur la piste en macadam !
Des navigations de précisions avec survol de balises en lignes droites ou sur des courbes tracées sur une carte au 1/200.000e avec des temps de passage chronométrés et comparés avec des temps déclarés par les équipages au départ de l’épreuve.
Idem avec des navigations de précisions avec survol de balises « cachées » en lignes droites ou sur des courbes tracées sur une carte au 1/200.000e pour des temps de vols cumulés chronométrés et comparés avec un timing déclaré par les équipages au départ de l’épreuve. Note : une épreuve de ce type réalisée le jeudi 16.08 a consisté à dessiner le taureau de PICASSO, de la queue à la tête ! NO STRESS, Serge et Laurent ont loupé la 1ère balise ! mais se sont rattrapés par la suite. Juste ce qu’il faut pour perdre une place au classement général…..
Des épreuves (3) de navigations économiques avec un emport limité de 9 à 11 kg de carburant, soit pour les autogyres près d’une heure de vol… et dont 1 avec réalisation d’un triangle dont la première branche est à réaliser avec la plus grande vitesse-sol possible et le bouclage du triangle contenant la plus grande aire ! Note : Serge et Laurent ont réalisé une prouesse : boucler le triangle avec un retour à la verticale avec panne sèche pour un toucher sans moteur et un dégagement de la machine hors de la piste à la main ! On a eu chaud aux fesses car se poser en campagne équivaut à un « 0 » pointé ! (comme en mai 2012 dans le champ de Mr Coin, à Moulins au Championnat de France !). Une autre épreuve économique consistait à voler aux alentours du terrain jusqu’à la panne sèche tout en profitant des ascendances locales. Nous avons « pompé » avec des aigles pas très farouches du tout ! – Super délire un vrai régal pour les yeux !
Navigations à 3 segments distants l’un de l’autre dont le passage de l’un à l’autre était à réaliser au droit d’une photo pointée sur la carte ! Jérôme a excellé dans cette épreuve ; ce qui lui a valu une belle performance ce jour-là.
La progression des résultats : Du Samedi 11.08 au mardi 14.08, Serge et Laurent ont occupé la 1ère et la deuxième place du classement général, aux côtés de l’équipage du M16 d’Eric et de Christophe. Jérôme et Patricia ont fleurté avec la 3e place. L’espagnol Marios CHIULA fumait de plus belle ayant raté un atterrissage de précision et une navigation de précision ; il était relégué à la 3e et 4e place. Le mercredi 15.08 a été une journée de relâche car la météorologie n’était pas de la partie : plafonds bas, pluie, vent (passage d’une perturbation plus au sud que prévu) et tempêtes de sable. Le combat des chefs a repris le jeudi 16.08 dès 08h30 jusqu’au vendredi 17.08. La dernière épreuve de la journée a consisté dès 14h30 (ouverture de la fenêtre de départ) en un vol local à réaliser jusqu’à perte sèche avec atterrissage sur une des 2 pistes mises à disposition. 53’43 sec pour Serge et Laurent ; 43’ pour Jérôme et Patricia et ….. 1h08’ pour Eric et Christophe (pas si difficile : ils sont maigres !!) L’espagnol Marios a repris du poil de la bête à l’image du Taureau de PICASSO et même la réclamation vaine auprès du directeur du championnat par Serge et Laurent pour l’amputation abusive de leur résultat dans l’épreuve du jeudi matin (pénalité de 20% pour un soi-disant décollage non réalisé dans le porte-avion….) n’aura pas suffit pour empêcher Marios de s’accaparer la 2e place au Classement Général. Nous ferons mieux la prochaine fois. Restons bon joueur ! Le Véliplane Club avec Serge, Jérôme et Laurent a bien représenté les couleurs de la France – une belle leçon de modestie et surtout des tonnes de patience et de concentration ! Bilan des 7 jours de compétition : aucun bobo, aucune casse de machine & d’os, beaucoup d’émotions et aussi de rires et puis … des râleries. Samedi 18.08 : remise officielle des prix et préparation du Magni Véliplanant pour le départ. Il fait une fois de plus très chaud et l’air est étouffant à souhaits ! Une seule machine sera emballée : celle de Serge, car l’autre Serge dit ‘’Le Viking’’ (l’assistant de l’Equipe CHANGEUR-VEDRAINE et garçon super sympa) accompagnera Jérôme dans la machine M16 d’Eric CHANGEUR pour le retour en formation. Elle n’est pas belle la vie ?!? Dimanche 19.08 : après une dernière nuit à Marugan dans notre maisonnette super chouette, nous prenons la route vers la France, Eric et Christophe étant déjà repartis le samedi en fin d’après midi à bord de son camping car. Laurent, Elise et Quentin transitent par Segovia pour faire le plein de carburant de leur carrosse car les stations dans la région de Marugan se font assez rares et de plus pour un dimanche …. Quant à Serge, il s’en retourne avec l’autogyre – privé de son rotor et rangé sur une remorque tractée par sa Mercédès fendant l’air – en passant directement par Valladoid. -Arrivée de Serge vers les 20 heures à St-Ciers-sur-Bonnieure chez Eric Changeur !
Passage de la Frontière française de Laurent vers 16h et trempette des pieds dans l’océan atlantique à Hendaye – Quentin est ravi après ces 14 jours de chaleur et de poussière. Lundi 20.08 : remontage de la machine et départ pour Meaux avec Lucie (on permute les filles !). Voyage très agréable avec une halte à Orléans-St-Denis avec un accueil vraiment des plus chaleureux ; encore un très grand merci à l’aéro-club d’Orléans-St-Denis (Note de Serge : « je leur dois 1,50€… »). Arrivés complètement crevés en fin d’après midi au Véliplane Club, Serge et Cie cherchent leur lit pour un repos bien mérités.
Récit de Serge et Laurent pour le Véliplane Club-
Essayer les Quik, c’est possible !
Toute la Game Quik à l’essai chez nous
Ne vous privez pas, c’est fabuleux !
Les Quik :
GT 450 en 80 et 100 ch,
le ‘’R’’ en 100 ch
et le ‘’GTR’’ en 100 ch
Demandez Serge ou Geneviève au 01 60 04 76 00 A très bientôt
Yoan
« On va arrêter de tourner en rond, on va rentrer »
Je crois que j’ai compris. C’est mon troisième vol en trois jours, et hier déjà l’instructeur m’a dit que j’allais être lâché très prochainement. Seule la météo l’avait empêché de demander le feu vert à Serge. Il semblerait qu’aujourd’hui, je n’y coupe pas.
Un peu plus de deux ans auparavant, échaudé par de longues heures passées sur simulateur, je décide de m’inscrire au Véliplane. Un emploi du temps exigeant m’interdit une formation régulière. Peu importe, je ne suis pas pressé, et chaque leçon est un plaisir. Durant mes absences prolongées je me dis que je vais abandonner, que la formation prend du temps et a un certain coût, même s’il est raisonnable pour un loisir aéronautique. La solution est toute trouvée, la satisfaction ressentie après chaque vol me conduit à rempiler encore.
Comme tous les élèves, je pense, j’ai imaginé bon nombre de fois ce que serait le jour de mon lâcher. Je me suis convaincu que le décollage serait aisé, et que ce ne serait qu’une fois en l’air que la peur de devoir atterrir me saisirait.
Je me trompais. En fait, je me rend compte maintenant que je suis seul à bord, que chacun de mes gestes doit être réfléchi, et je me surprends à me poser des questions rien que pour démarrer la machine… En effet, accompagné d’un instructeur, on sait que si on fait une erreur, elle sera vite détectée, corrigée, et débriefée en toute sécurité. Maintenant, si je fais une erreur, personne n’est là pour me le dire.
Philippe prévient la tour que je repars seul, je précise moi même à la tour que c’est une première, et sur ses indications je roule vers le point d’arrêt 34 gauche. Je fais mes vérifs, et là, le doute. Je prends dix bonnes secondes avant de m’annoncer prêt… Après tout si j’ai commencé à voler, c’est précisément pour cet instant, et si Serge m’a donné le top c’est bien que je dois en être capable.
Feu vert. Je me lance. Montée initiale. Ultime piqûre de rappel : « La tour, de Serge, le skyranger là, c’est un lâcher ! » Décidément, ça va se savoir…. Je reconnais que ça rassure de savoir que le contrôleur me porte une attention particulière…
Tout va pour le mieux. Un premier toucher, puis un deuxième, et je demande un complet, histoire de ne pas abuser. Me voilà en finale. Me voilà en finale avec 80 kilos de passager en moins. Gaz réduits au maximum, un cran de volet, et cet appareil qui ne descend pas. Je rends la main, du coup la vitesse s’en mêle… Je suis aux commandes d’un engin qu’on pourrait poser sur un terrain de tennis (ou presque…), et me voilà en train de bouffer la piste comme si j’arrivais avec un transall ! Peu importe, j’arrive aux deux tiers de la piste, et je pose tout en douceur : c’est gagné.
Alors que je rentre au hangar, Serge me félicite à la radio. Merci. Mais tout s’apprend, et en matière de pilotage je crois que l’acquis prend le pas sur l’inné. Je ne dois cette réussite qu’à la patience et au sérieux de chacun des instructeurs du Véliplane.
Il faut préciser aussi que, au delà de la didactique, l’ambiance qui règne au club est excellente, et que la variété des pilotes, instructeurs, élèves ou autres amoureux de l’ULM que l’on y croise, contribue à cette réussite.
Yoan BIENFAIT, (merci Yoan, plus qu’à se faire plaisir !)
info Championnat de France
L’équipe, Juste une petite info suite à notre participation au Championnat de France Ulm qui se tenait à Moulins du 26 mai au 2 juin A la logistique était Geneviève et sa boîte à images tandis que Laurent se plaçait en navigateur avec Serge au pilotage A notre grande surprise, à notre arrivée nous avons appris que nous étions les seuls dans la classe ‘’Autogire Bi Place’’ Nous avons donc fait 1er par forfait, mais nous nous sommes bien battus, autant que nous avons pu Et nous avons eu la joie d’être retenus (qualifiés) pour défendre les couleurs de la France lors des championnats du Monde Ulm qui se déroulont du 6 au 20 Août à Marugan en Espagne Donc : joie
lien : http://ffplum.blogspot.fr/2012/05/championnat-de-france-ulm-moulin.html
Nous souhaiterions beaucoup qu’un Team Véliplanant se monte pour une participation en nombre au prochain championnat de France, pensez y, c’est très ludique et formateur, cela peut aider à démystifier ces championnats car il n’y a vraiment pas de raison De plus, c’est une semaine de vols et très agréable, des vacances…
Déjà des préinscrits :
Thierry
Salut serge,
voici quelques lignes suite à mon lâché de ce Jeudi.
Depuis les dernières semaines, on pouvait entendre en début de chaque cours : Thierry, il est presque « lâchable » mais il faut s’entraîner encore un peu sur les arrondis, il reste à faire les pannes moteur au décollage, c’est presque bon, mais… Étrange sensation mêlée d’excitation et de trouille…
Et puis ce jeudi 14 Juin, un peu comme par magie, toutes les conditions semblent réunies. Patrick, l’instructeur avec qui j’ai fait dernièrement une nav de 9h sur les Châteaux de la Loire et qui connait bien mon pilotage, est au club ce matin alors que je ne l’y attendais pas.
La météo est bonne alors que ce mois-ci c’est plutôt la cata. C’est assez calme sur la plateforme, il n’y a que Christian, puis Serge qui enchaînent les tours de pistes.
Alors après quelques tours de piste avec plusieurs exercices de panne moteur, Patrick, avec l’accord de Serge, décide qu’il pouvait me lâcher ! Après un briefing et un peu de paperasse, c’est parti ! Finalement, on se concentre, les gestes maintes fois répétés s’enchaînent et on vole tout seul !
Un grand merci à tous les instructeurs qui ont participé à ma formation. Georges pour mes premières prises en main du pendulaire en sortie Nord avec une escapade vers les éoliennes de Château Thierry, ainsi que Léo, puis Serge pour mes premiers tours de piste, Christian avec les exercices de panne campagne et les tours de piste, Laurent pour les sorties Nord, les exercices sur les champs carrés, les tours de piste et Patrick jusqu’à ce que je pige enfin le truc pour l’arrondi et notre nav agitée mais inoubliable sur les Châteaux !
Encore un grand merci à Geneviève et à Serge qui ont rendu cette aventure possible et aussi à mon épouse, Elisabeth, qui partage ma passion pour le vol, qui m’a toujours encouragé, à elle maintenant d’être lachée en 3 axes !
Merci Thierry, vole maintenant de tes propres ailes et toujours en prudence.
Laurent
ébriefing du lâcher du vendredi 4 mai 2012 :
Ce fameux jour que tout élève pilote attend pour prendre son envol est arrivé.
Après une matinée de pilotage aux côtés de mon Instructeur, le chef pilote me propose de me lâcher l’après- midi.
Le temps était bruineux, le soleil manquait à l’appel, mais bon…, ce n’était pas grave, ce jour tant attendu était là.
Alors j’ai dit OK pour l’après-midi.
Sans manquer d’attirer mon attention sur les différents points auxquels il fallait faire attention et surtout sur le fait que l’avion serait bien plus léger avec une personne de moins.
Je pars…, je vous passe les détails de mes annonces à la tour, etc…
Je décolle, 4 tours de piste, entre décollage, atterrissage, glissade, volet 1 cran, 2 crans, plus ou moins biens, je vole… et je ne peux qu’apprécier la maniabilité du Skyranger.
Pour finir, je décide d’un complet, je l’annonce à la tour, 900ft, Vent arrière, circuit rapproché, base, finale, autorisé 25 gauche. Je suis trop haut, glissade, encore trop haut, volet 1 cran , volet 2 ème cran, un tout petit peu haut encore ( 50 cm ), mon arrondi n’a pas agit comme je l’attendais, je touche la piste et…petit rebond presque imperceptible (dans l’action et en finale tout va vite !), sans action brusque, je suis au ras du sol et je pose.
J’entame ma sortie et je réalise que le Skyranger a besoin de plus de puissance pour se mouvoir sur la piste, je quitte la piste, annonce à la tour que la piste est dégagée, trop de vibrations, trop de puissance pour rouler, je m’adresse au contrôleur pour lui indiquer qu’il semblerait que j’ai un problème sur une roue, ce qu’il me confirme après avoir pris ses jumelles et m’indique que je réparerai cela au club sans me dire de quoi il s’agissait.
Je rentre au club avec beaucoup de vibrations et beaucoup de puissance pour rouler ( je crains le pire,…)
Arrivé au club, l’équipe m’attend, je coupe les magnétos, le contact, j’enlève la clé, l’enfile dans la commande du parachute et descend : un pneu crevé.
Le chef pilote ne dit pas grand chose et je le comprends, il ramène une roue et on la change. Avec beaucoup d’humour il ne manque pas de me faire remarquer que ces machines sont fantastiques et facile à réparer.
On change la roue, et puis il me félicite.
Finalement, plus de peur que de mal, je réalise avec stupeur que je n’ai pas eu peur, et pourtant ma dernière approche était risquée.
Encore quelques heures de perfectionnement aux côtés de mes Instructeurs préférés et ce sera au point.
En tout état de cause cette expérience restera gravée dans ma mémoire à jamais.
Laurent BENKHOUCHA
Merci Laurent, plus qu’à voler et bien bien voler, vas mon cher…
Le SkyLane passe en école !
très bonne nouvelle pour les élève pilotes et tous les pilotes qui veulent essayer une machine hors du commun !
L’heure de cours tout compris sera légèrement plus élevée que sur le SkyRanger, elle passe à 135€/h au lieu de 126€/h
à suivre…
Etienne
Voici le bref récit de ma formation.
Petit mot sur la théorie : Quand j’ai attaqué, je me suis dit, pas de lézard, la théorie c’est comme si c’était fait… Et ben, comment dire, 2 échecs… Pourquoi ? J’ai rien foutu, j’y allais la fleur au fusil. Ayant un caractère à me démoraliser facilement (Breton tête de con…) pour certains trucs je décide de laisser tomber en prévenant Serge. En fin de compte, j’ai bien fait car il a su, avec Christian, me motiver pour y retourner. Et ben, c’est bizarre, quand on bosse, on y arrive.
La pratique : après environ de 6 mois de break (la théorie) je retourne au Véliplane un peu penaud après ma réaction à la con et je suis toujours aussi bien accueilli (ce qui me redonne un regain de confiance).
Différents vols d’instruction avec Serge, Christian, Pascal, Laurent, Eric (je n’ai pas réussi à en user un seul) et plusieurs fois entendu : « c’est bien t’es pas loin du lâcher » et comme un gland je merde sur la séance suivante, bien sûr à nouveau une grosse baisse de moral.
Le manque d’assiduité a été certainement un handicap, mais mon sale caractère aussi. Et un jour, j’ai décidé de m’y mettre à fond, tous les soirs, un max le week-end et le 28 mars, je pars avec Laurent, 3 tours de piste, sur le dernier j’annonce un complet, on va au bureau signer le papier et je retourne m’installer tout seul dans la machine. Que dire ? Je ne sais pas trop, c’est jouissif, depuis le temps que je rêve de m’installer seul à bord de J.E, de faire mes annonces, le roulage etc… Et ben ça y est, pas de stress juste du bonheur à l’état pur. Check list au point d’arrêt 07 droite, la tour m’autorise à m’aligner et à décoller ; Ca y est, je suis en l’air tout seul, 3 touchers sur la 07 gauche puis un complet sur la droite et retour au parking. Si quelqu’un avait pu me voir dans J.E il m’aurait certainement pris pour un grand malade, je chantais tout seul, après le premier toucher il me semble même avoir gueulé ma joie… On aurait dit un gamin qui vient de découvrir son premier cadeau au pied du sapin de noël…
Le 29, retour au Véliplane, convaincu que je vais faire des tours de piste tout seul, douche froide, je repars avec Christian, et là, je merde complet, mais alors je fais la totale, à tel point que je dis à Christian au bout de 20 minutes : »on laisse tomber, on fait un complet et je rentre ». Christian me rassure et essai de me remonter le moral comme il peut, mais mon sale caractère reprend vite le dessus… Je rente chez moi déçu, ma femme me demande ce qui se passe, je lui explique, elle me remonte le moral également.
Je n’avais vraiment pas envie d’y retourner le 30 Mars, mais pousser par ma femme et Serge j’y retourne. Départ en vol avec Christian, 3 tours de piste et question de Christian : « ça te dis de voler seul ? » quelle question, ben oui. Un complet, il me signe le papier et c’est reparti. Depuis, quelques vols de confirmation puis des vols en tours de piste seul. Le 03 Avril vers 17h30 arrivée au Véliplane, Serge me dit : « y a pas de vent, je te signe la feuille et t’y vas tout seul ». Bonheur… Décollage de 34 gauche, premier toucher nickel, le second mauvaise approche, alors pour éviter de faire des conneries, remise de gaz et la suite super… reste plus que la nav.
Bilan : Faut pas baisser les bras, c’est tellement bon de se retrouver seul en l’air. Je ne remercierais jamais assez Serge, Christian, Laurent, Pascal et Eric pour m’avoir mis en confiance, leur patience et m’avoir mis un coup de pied au cul quand il le fallait. Sans oublier ma femme qui à su me remonter le moral.
A tous un immense merci.
Merci à toi Etienne ‘’n’abandonnez pas et vous n’échouerez pas’’ qui disait l’autre… Aller, sois prudent et vole longtemps. (Serge)
Franck
qq mots pour parler du laché + qq photos pour aller avec :
“Ce samedi matin de mars il fait si beau que quand j’arrive au club Véliplane tout le monde est en l’air. Pendulaires, autogires et multiaxes. Et bien sûr, plus un seul instructeur de libre, même mon préféré… Christian. Bon… c’est sûr il lui faut plusieurs cafés le matin pour redevenir bavard et jovial. Mais en l’air, il vous dira tout. Vous bénéficierez de toute son expérience et de ses précieux conseils sur le pilotage et la sécurité. Une formation que vous ne trouverez pas facilement ailleurs. Et comme on n’a qu’une vie, ça tombe bien.
Mais ce matin donc, c’est Serge (le Patron à l’assent du midi, peuchère) qui se dévoue et nous voilà partis pour des tours de pistes en multiaxes. Après 2 ou 3 atterros, le mot presque tabou et tant attendu depuis le début de ma formation cet hiver résonne dans la cabine. “Bon éh bé.. Franck.. c’est ça hein ? Tu va repartir en solo. On se pose le temps de faire les papiers et tu y vas.”
Des semaines que j’en rêve mais en même temps c’est un peu le stress. Il fait si beau et les gens du club avec qui je discute avant de repartir ont l’air si sûr de la décision de Serge, que me voilà seul à bord et pas trop stressé. Et là, toute la formation revient, faire la radio, dire à la tour qu’on est solo et qu’on va faire des tours de piste. Il sont super à la tour. Ils ont presque fait la radio à ma place pendant les 2 3 premiers tours. ça détend et ça permet de se concentrer sur le pilotage. Merci Messieurs. Je roule pour la 34. La check list, on est prêt , la tour donne le go et c’est parti. je m’aligne et décolle. Quelle sensation….Une joie de gosse, malgré le temps qui a passé.. Presque un demi-siècle au compteur..Et puis ça monte plus vite. C’est qu’un instructeur ça pèse… Mais me voilà en finale, et s’agit de pas se rater. Christian est au sol, je le sais. Il regarde. C’est comme si il était là à côté. je l’entends : “Attention à ton badin, ta pente, garde ton axe, ta bille, ne surpilote pas, et arrondi bien à la fin. Pense à ta roulette de nez. Ne l’utilise pas.” Et voilà… posé. Doucement, comme une plume. Je remets les gaz et c’est reparti. Je sens que ça devient une drogue. Pour tout dire, je suis pas peu fier que Chistian ait trouvé mes atterrissages trés réussis ce matin là.
Après des années de “disette” aéronautique (plus de 20 ans après avoir arrêté le planeur), c’est ma femme (…) qui m’a parlé d’essayer l’ULM. Et j’ai découvert un monde bien différent de la vision que j’en avais. Des passionnés certes, mais qui ont la tête bien sur les épaules, et l’envie de partager. Et puis des machines incroyables, sûres et performantes. C’est vrai que c’est pas facile de trouver un club sympa, vivant, ouvert à tous et donc aux débutants, et avec une vraie vie de club et une atmosphère familiale. Après beaucoup de recherches sur internet et de discussions avec des passionnés, j’ai trouvé le Véliplane. Le coup de bol. D’autant plus que j’y ai trouvé mon ULM multiaxe, un Storch que Max a amoureusement bichonné pendant 10 ans. Mais je vous parlerai de Max une autre fois. Une légende dans le club.
Alors, si ça vous dit un petit baptême comme on l’a fait pour le petit dernier, ou une formation, n’hésitez plus. Venez nous voir. Serge et sa femme vous accueilleront avé le soleil dans les yeux et dans l’accent Vous ne le regretterez pas. A bientôt.
Franck”